A CASSEL : UN RENDEZ-VOUS A NE PAS MANQUER

A la Ferme du Mont des Récollets de Cassel, entre Lille et Dunkerque et à partir du 4 avril prochain, Emmanuel de Quillacq et Bruno Caron ouvriront leur jardin, comme ils le font régulièrement depuis une dizaine d’années. C’est un concert de bulbes à fleurs qui démarre et qui va se poursuivre sur plusieurs semaines, suivi par d’autres floraisons, d’autres effets, d’autres surprises jusqu’en automne.

A deux kilomètres du charmant bourg de Cassel, Emmanuel de Quillac et son associé Bruno Caron ont en une dizaine d'années donné un charme incomparable à une ferme ancienne restaurée, en enveloppant celle ci d'un jardin. Ce jardin est fait dans le style historique des Flandres et le mot "naturel" est bien celui qui lui convient le mieux. Les milliers de narcisses qui envahissent les pelouses chaque printemps en est l'exemple le plus frappant. Ici, naturalisation de Narcissus 'Mount Hood'.

Emmanuel de Quillacq sourit quand il raconte son parcours, sans doute en souvenir de toutes ces années passées à relever des ruines la maison de famille. Il est heureux en effet d’avoir pu revenir vivre à Cassel, la terre de ses ancêtres du côté maternel. Il évoque avec plaisir le souvenir de son arrière grand-père Armand Masson qui achète le Mont des Récollets pour exploiter la sablière qui s’y trouve. C’est alors un revenu possible à la fin du 19ème siècle. Lorsque l’activité devient douteuse sur le plan économique, le Mont est reboisé sur quelques dizaines d’hectares et Armand Masson se fait construire une maison dans le style chalet normand comme c’est la mode à l’époque. Les deux guerres mondiales qui suivent modifient totalement le paysage. De nombreux combats aériens se déroulent au dessus de Cassel. La région est rasée par Rommel pour tapisser la Flandre de pieux de bois et barbelés anti-parachutistes et anti-planeurs. L’oncle d’Emmanuel, Hubert Masson, est très actif dans la Résistance. Les nuits, il tente d’aller au secours des soldats parachutés. Il photographie aussi les rampes de V1 et V2 toutes proches. Lorsque la guerre se termine enfin, le Mont est de nouveau reboisé par la grand-mère d’Emmanuel. Depuis cette époque, le Mont des Récollets « non constructible » est resté dans la famille.

A deux kilomètres du charmant bourg de Cassel, Emmanuel de Quillac et son associé Bruno Caron ont en une dizaine d'années donné un charme incomparable à une ferme ancienne restaurée, en enveloppant celle ci d'un jardin. Ce jardin est fait dans le style historique des Flandres et le mot "naturel" est bien celui qui lui convient le mieux. Les milliers de narcisses qui envahissent les pelouses chaque printemps en est l'exemple le plus frappant. Ici, Narcissus 'Mount Hood'.

Après une enfance passée à voyager au gré des mutations de son père, militaire de carrière, et des études de Paysagiste DPLG faites à l’Ecole du Paysage de Versailles, Emmanuel est tenté de reprendre en 1990 la ferme qui est alors dans un état de semi-ruine avec l’idée de prolonger la saga familiale à forte identité flamande. Il part à la recherche contemporaine de « sa Flandre » à partir de quelques idées fortes qu’on peut nommer ainsi :

1. Gastronomique avec l’ouverture en 1992 d’un magasin de produits régionaux à Cassel car c’est une ville touristique propice au tourisme en raison de son histoire et de sa position sur un belvédère où la vue porte loin sur le Plat Pays.

2. Folklorique avec la création en 1995 du premier estaminet « nouvelle vague » à riche ambiance de jeux, de conteurs et nourriture festive.

3. Créative avec le démarrage d’une agence paysagiste proposant de recomposer des « jardins à la flamande » soucieux d’enclos, de haies bocagères, de plantes bulbeuses sur prairie. Pour donner du corps à cette démarche, la ferme qui devient progressivement le coeur d’un beau jardin s’ouvre à la visite. Toute la surface disponible, soit un hectare et demi, est devenue avec les années le lieu de délices espéré. C’est une promenade faite de scènes paysagées, petites ou grandes, ouvertes sur le paysage ou fermées, selon leur positionnement sur le site. Un peu jungle par endroits, calme à d’autres, on avance à l’affut d’une sensation nouvelle. Ce sont les haies à la fois belles et utiles qui autorisent ce projet. Elles ont été faites au début avec les essences locales de charme, houx et érable. Auxquelles sont venus s’ajouter de nombreux buis et ifs qui ont la particularité de garder leur feuillage en hiver et qui sont malléables à l’extrême sous l’effet de quelques tailles aux cisailles. Le terrain frais, sableux, drainant bien était propice à la culture d’espèces bulbeuses. Cela se voit maintenant au printemps avec des milliers de petites têtes blanches, jaunes et autres teintes des narcisses, tulipes, fritillaires, scilles. La liste augmente à chaque saison en raison de nouvelles introductions.

A deux kilomètres du charmant bourg de Cassel, Emmanuel de Quillac et son associé Bruno Caron ont en une dizaine d'années donné un charme incomparable à une ferme ancienne restaurée, en enveloppant celle ci d'un jardin. Ce jardin est fait dans le style historique des Flandres et le mot "naturel" est bien celui qui lui convient le mieux. Les milliers de narcisses qui envahissent les pelouses chaque printemps en est l'exemple le plus frappant. Ici, Emmanuel de Quillac passe tous les matins couper les fleurs fanées des Narcissus 'Mount Hood'.

Emmanuel de Quillacq et Bruno Caron, l’associé qui l’a rejoint à l’ouverture de l’estaminet, ont compris le double intérêt qu’il y avait à planter des bulbes sans relâche. Au fil dans ans et grâce à eux, les Jardins de la Ferme du Mont des Récollets sont devenus connus, puis reconnus et enfin célébrés à leur juste valeur ! Le respect de la Nature guide nos deux compères. Rien n’est fait contre elle : pas de pulvérisateur à poison (herbicides, fongicides, insecticides) en service chez eux. On peut donc y flâner sans crainte et laisser les enfants courir et jouer sur le gazon. La saison des bulbes, c’est avril et mai. Le reste de l’année, le spectacle est offert par d’autres espèces. Les carrés de buis se remplissent de floraisons multiples et variées. L’eau de la mare se couvre doucement des feuillages de roseaux et de typhas, procurant ainsi des espaces sécurisés pour les oiseaux de passage. Forts de leur expérience à l’Estaminet, Emmanuel et Bruno ont ouvert leur maison à la restauration les jours de visites du jardin.

A deux kilomètres du charmant bourg de Cassel, Emmanuel de Quillac et son associé Bruno Caron ont en une dizaine d'années donné un charme incomparable à une ferme ancienne restaurée, en enveloppant celle ci d'un jardin. Ce jardin est fait dans le style historique des Flandres et le mot "naturel" est bien celui qui lui convient le mieux. Les milliers de narcisses qui envahissent les pelouses chaque printemps en est l'exemple le plus frappant. Ici, Fritillaria uva-vulpis et Narcissus 'Mount Hood'.

LES JARDINS :  «  Jardins du Mont des Récollets » Het Wouwenberghof
Estaminet sur place : Repas tous les dimanche midi ou sur demande(groupe), boissons et desserts
1936 route de Steenvoorde. Cassel 59670
Ouvert du Jeudi au Dimanche : 04 Avril-10 Novembre
10h- 18h00 dernière entrée,
Fermeture : 1ère semaine de Juillet ; 1ère quinzaine d’Octobre

Venez le découvrir 04 Avril-10 Mai: « La fête des Bulbes “
. Jardin de l’année France 2011 A.J.J.H.
. Le Jardinier du département du Nord( V.M.F. 2003)
. Classé « Jardin Remarquable »
. Représentant la Région Nord/Pas de Calais dans l’émission de
Stéphane Bern sur France 2 « Le Jardin préféré des français »
Tel. 06 07 84 77 50.
– Visite libre : 6€/personne
– Visite libre(+ de 15 personnes) : 5€/personne
– Visite guidée(+ de 15 personnes) : 6€/personne( +40 €/guide)

A deux kilomètres du charmant bourg de Cassel, Emmanuel de Quillac et son associé Bruno Caron ont en une dizaine d'années donné un charme incomparable à une ferme ancienne restaurée, en enveloppant celle ci d'un jardin. Ce jardin est fait dans le style historique des Flandres et le mot "naturel" est bien celui qui lui convient le mieux. Les milliers de narcisses qui envahissent les pelouses chaque printemps en est l'exemple le plus frappant. Ici, le jardin de buis taillé en berlingot.

En lien ci-après une vidéo sur notre jardin du Mont des Récollets  + estaminet     https://vimeo.com/190764202

LA POLLINISATION AU JARDIN COMMENT ÇA FONCTIONNE ?

Les abeilles vont mal, voire très mal selon certains avis, et avec elles l’ensemble des autres pollinisateurs. La plupart des experts parlent d’un naufrage de la pollinisation à plus ou moins court terme. Dans ce contexte, il est important de bien comprendre la place et les enjeux de cet acte dans la production des fruits et des légumes au jardin. L’entomologiste Vincent Albouy donne des pistes à suivre dans un langage à la portée de tous. Voici les recettes qu’il pratique dans son jardin en Charentes-Poitou et qui font l’objet d’un livre récemment publié chez Ulmer. Photos de l’auteur.

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La compréhension de la pollinisation passe par un cours succinct de botanique pour expliquer comment est constituée la fleur, avec ses éléments reproducteurs étamines et pistil, et comment les grains de pollen (élément mâle) microscopiques trouvent leur chemin pour aller se déposer sur le stigmate (élément femelle) au meilleur moment de sa maturité.

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Qui transporte le pollen ?
Les agents qui véhiculent le pollen sont en nombre limité. Les abeilles et autres insectes ne sont pas seuls attelés à cette tâche. Il peut s’agir de la gravité terrestre quand le pollen tombe sur un stigmate placé dessous, de l’eau parfois, du vent, d’un animal, d’un oiseau et bien sûr de la plante elle-même quand, par exemple, ses étamines se recourbent et viennent s’appuyer sur le stigmate de la fleur.

Pour que les insectes fréquentent les fleurs, il faut qu’ils soient attirés d’une manière ou d’une autre. Leur collaboration n’est pas volontaire, ni même gratuite. Ce qui les séduit, c’est généralement la présence d’une substance qui leur servira d’aliment. Pour la plupart de nos fruits et légumes, il s’agit du nectar, liquide riche en sucre. Mais pour quelques autres qui n’en sécrètent pas (la tomate par exemple), c’est le pollen riche en protéines qu’elles produisent en abondance. Mais tous les insectes ne mangent pas du pollen ou du nectar. Donc tous ne sont pas pollinisateurs.

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C’est en ces termes que Vincent Albouy avance dans l’explication du phénomène qui engendre la fécondation des plantes et qui par le fait assure une part importante de la nourriture du genre humain. Alors, il y a de quoi s’inquiéter et chacun d’entre nous doit s’informer des dangers qui pèsent sur notre avenir afin d’agir, chacun à la mesure de ses moyens.

Cétoines, bourdons, abeilles …….
Grâce à ses multiples connaissances qu’il sait efficacement partager, on met des noms sur cette gentille faune ailée qui opère discrètement pour notre plus grand bien. La liste est longue. Chaque insecte est mentionné avec ses singularités. Les cétoines par exemple qui sont végétariennes et qui broutent la fleur et l’abîment. On les tolère quand même car le dessous de leur corps très poilu retient bien le pollen, favorisant ainsi son dépôt sur les stigmates des fleurs suivantes visitées.

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Vincent Albouy passe en revue la plupart des espèces qui prennent leur part de travail dans cette alchimie végétale. Les bourdons par exemple, dodus et velus, qui vivent en colonie annuelle. Chacune comporte une reine (la mère), des ouvrières stériles et, en fin de saison, des mâles et des femelles, les futures reines. Le nid est logé dans une anfractuosité, souvent dans le sol, parfois sur un mur, un tronc, des rochers, un vieux nid d’oiseau. A l’automne, cette société périclite et meurt à l’exception des jeunes femelles fécondées qui hivernent. Au jardin, quatre espèces s’observent communément : le bourdon terrestre, noir, jaune, orangé et blanc, le bourdon des près, noir, jaune et roux, le bourdon des pierres, noir et rouge et enfin le bourdon des champs, brun.

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Vincent réserve de belles pages aux abeilles, bien sûr, en différenciant les abeilles sauvages de l’abeille domestique, dite abeille mellifère quand elle vit en ruche. C’est le pollinisateur le plus fréquent. La population d’une colonie d’abeilles domestiques peut atteindre au cours de l’été plusieurs dizaines de milliers d’individus. Les ouvrières, seules à butiner les fleurs, sont très poilues et munies d’un équipement performant pour la récolte du pollen. Leur langue de 6 mm de long environ leur permet d’explorer les fleurs moyennement profondes, ce qui est le cas de la majorité de celles des fruits et légumes. Après avoir passé en revue tous ces alliés qui concourent à la bonne marche des jardins, l’auteur fait le tour, genre par genre, des fruits et des légumes qui ont besoin d’eux : pommier, poirier, noisetier, amandier, kiwi, fraise, figuier, fève, tomate, aubergine… La liste est longue. On ne se lasse pas des détails qui rendent ce petit ouvrage croustillant et au prix très raisonnable de 9,90 euros.

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https://www.editions-ulmer.fr/editions-ulmer/la-pollinisation-au-jardin-comment-ca-fonctionne-comment-favoriser-la-pollinisation-des-fruits-et-des-legumes–672-cl.htm

https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/insectes-pollinisateurs/

LE NOUVEAU RENDEZ-VOUS DE SAINT-JEAN : 12.13.14 AVRIL 2019

Depuis sa création en 1984, la Fête des Plantes de Saint-Jean de Beauregard n’a cessé d’encourager les pépiniéristes et de les aider dans leur production et leur diffusion. Les exposants se sont toujours distingués par la diversité, la qualité et l’originalité des végétaux présentés. Parmi les anciens certains sont encore là mais beaucoup de « nouvelles pousses » sont venues les rejoindre avec un regard forcément novateur. Cela donne un ensemble dynamique et chaleureux qui fait de « Saint-Jean » une des meilleures manifestations françaises de ce type. Prochain rendez-vous donc les 12, 13 & 14 avril.

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L’année 2019 sera dynamisée pour fêter les 35 ans de Saint-Jean par la présence de Patrick Blanc, parrain d’honneur, mondialement célèbre à la fois comme découvreur de plantes sur le terrain et comme l’inventeur du mur végétal. Cet événement fêtera donc l’amour des plantes et le partage d’une passion. On a peine à imaginer combien, en 35 ans, le paysage de nos jardins a pu changer. Nombre de végétaux, dont certains nous paraissent communs aujourd’hui, ont fait leur apparition au cours de cette période. Quelques-uns sont certes restés destinés aux amateurs avertis tandis que d’autres n’ont pas tenu les promesses qu’on espérait d’eux. Mais la plupart des nouveautés, souvent primées à Saint-Jean, ont définitivement modifié l’ordonnancement de nos massifs. Les hostas, les hellébores, les échinacées, les cornouillers sont ainsi passés de l’ombre au devant de la scène. Sans parler des graminées autrefois confidentielles et désormais incontournables. Nul doute que les horticulteurs et pépiniéristes présents à l’événement d’avril prochain déchargeront de leurs camions le meilleur de leur production, comme ils l’ont fait naguère avec le Choisya Sundance, le Rosier Pierre de Ronsard et l’Heuchera Caramel, best-sellers des années passées.

QUELQUES IDEES POUR RENOUVELER VOTRE PATRIMOINE

Broussonetia papyrifera Golden Shadow présenté par la pépinière botanique de Cambremer
Les mûriers à papier sont des petits arbres gracieux au feuillage caduc pittoresque, duveteux et peu exigeant sur le terrain. Remarquablement résistants à la sécheresse, ils sont appelés à un bel avenir en raison de notre réchauffement climatique. Le cultivar ‘Golden Shadow’ ajoute à toutes ces qualités une superbe couleur dorée de feuille, virant au vert acide en plein été et ne brûlant pas au soleil. Voici l’assurance d’une culture sans problème pour toute situation relativement bien drainée.

Broussonettia papyryfera Golden Shadow

Les petits marronniers de la pépinière Adeline
Pour tout un chacun, les marronniers (Aesculus) sont des arbres majestueux bordant nos avenues et les allées des parcs. C’est un peu court pour ce genre de plus d’une vingtaine d’espèces ! Certaines ne sont que de petits arbres ou des arbustes plus adaptés aux jardins de taille réduite. La collection de la pépinière Adeline dispose d’un bel éventail, souvent à floraison spectaculaire et à feuillage brillant. C’est le cas remarqué (voir photo) de l’Aesculus mutabilis induta qui forme un gros buisson rond à fleurs roses et de l’Aesculus neglecta ’Erythroblastos’ au somptueux feuillage crevette au printemps.

Aesculus mutabilis induta

Cornus kousa ‘Miss Satomi’
Les cornouillers de Chine ont tous des inflorescences munies de bractées blanches, parfois à pointes roses, et ‘Miss Satomi’ s’est faite remarquer par les siennes franchement rose soutenu et surtout de très longue durée.

Cornus kousa Miss Satomi

Hydrangea arborescens ‘Incrediball’
Succédant à l’Hydrangea arborescens ‘Annabelle’, déjà étonnant par la taille de ses fleurons, cette forme à têtes géantes blanches se tenant bien a fait sensation, tout comme la forme à fleurs roses nommée ‘Invincibelle ‘ plus légère et parue en même temps.

Hydrangea Incrediball

Les joubarbes de Stéphane Bellec
Les plantes grasses capables de supporter chaleur et sécheresse aussi bien que la rigueur de nos hivers ne sont pas légion. C’est l’occasion d’adopter les joubarbes (Sempervivum) irremplaçables en la matière. Leur gammes de tailles et coloris, habillés ou non de fils soyeux, est de plus en plus  vaste, variant du vert à l’argenté en passant par tous les roses et pourpres possibles. La pépinière Bellec en présente plus de mille sortes au nombre desquelles figure Sempervivum calcareum ‘Benz’ (photo) aux grandes rosettes serrées, bleutées et à pointe légèrement rouge.

Sempervivum calcareum benz

EVENEMENTS & ANIMATIONS
Durant les trois journées de Saint-Jean et afin de procurer une animation, il y aura les baptêmes de l’Iris ‘Vicomtesse de Curel’, une création de Richard Cayeux et du Narcisse ‘Ice Dream’ création de Gentiaan Bulborum. Des dégustations de confitures, gelées et pâtes de fruits seront proposées sur le stand de www.jardins-en-marche.fr ainsi que des visites guidées du potager fleuri à la française.

CONFERENCES
par Patrick Blanc pour « 45 ans de découvertes botanique dans le monde »
par Sébastien Guillet pour « Les yuccas rustiques »
par Xavier Mathias pour « Faites pousser et dégustez vos protéines »
par Yves Darricau pour « Planter des arbres pour les abeilles ».

http://www.chateaudesaintjeandebeauregard.com/les-rendez-vous/fete-des-plantes-de-printemps/